1er jour
À Nohant, visite de la maison de George Sand, transformée en musée mais conservée telle qu'elle l'a connue jusqu'à sa mort.
Visite de l'église Saint-Martin dans le bourg de Vic, datant du XIe siècle qui renferme des fresques du XIIe siècle admirablement préservées grâce à l'intervention de George Sand et de Prosper Mérimée.
En soirée, concert privé par Cyril Huvé, Victoire de la musique classique 2010, dans sa maison d'artiste de Chassignolles, la Grange aux Pianos : il joue sur 4 pianos…

2e jour
Visite de la Châtre et du musée George Sand et de la Vallée noire
Visite de la basilique romane de Neuvy-Saint-Sépulchre, classée au patrimoine mondial de l'Unesco et construite sur le modèle du Saint-Sépulcre de Jérusalem.
Déjeuner à la Petite Fadette à Nohan.
Visite du Petit Coudray, maison forte du XIVe siècle, cadre des amours de Jules Sandeau et George Sand en 1830 et 1831.
Evocation de la supposée mare au diable dans le bois de Chanteloube, immortalisé par l'une des œuvres les plus connues de George Sand, La Mare au diable.
Visite du moulin d'Angibault qui servit de décor au roman Le meunier d'Angibault.
Concert à Nohan, 52e édition du Festival Chopin.

3e jour
Visite de Gargilesse, classé parmi les Plus Beaux Villages de France, petite bourgade de charme dont George Sand tomba littéralement amoureuse.
Visite de la villa Algira, maison paysanne ayant servi de refuge à l'auteure et à son dernier amant Alexandre Manceau, rassemblant des souvenirs de la romancière ; elle ne pouvait se rendre dans ce village qu'à dos de mule…
Visite de l'église de style romano-byzantin (XIe et XIIe siècles) présentant dans sa crypte des fresques magnifiques.
Concert de piano à Nohan (le prodige de 24 ans Seong-Jin Cho).

4e jour
Visite du château de Boussac où George Sand allait rendre visite à Pierre Leroux (son premier roman champêtre, Jeanne, s'y déroule), là où ont été découvertes les tapisseries de la Dame à la Liconrne que George Sand signale à (son amant) Mérimée…
Découverte du village de Sainte-Sévère-sur-Indre, évoqué dans Les Maîtres sonneurs et immortalisé par Jacques Tati qui y tourna Jour de fête en 1947 : visite de la Maison de Jour de Fête qui permet de revivre l'histoire du tournage.