L'avis d'Aurore sur Les vies de papier de Rabih ALAMEDDINE
Elle m'a fait penser à deux livres (lus à Lirelles) : Sur les ossements des morts d'Olga Tokarczuk et La porte de Magda Szabó. J'ai aimé parce que la traduction est centrale et cela me touche (je suis traductrice). Le livre est un formidable éloge de la littérature. Les
citations nombreuses ont tout à fait leur place, telles un miroir
de ce qu'elle vit. Comme Stéphanie, je ne savais pas en le lisant que l'auteur est un homme. Je n'ai jamais lu de roman libanais et c'était une découverte découverte également par l'éclairage sur le pays. J'ai bien aimé cette vie fantasmée dans les livres, par
lesquels s'évader vers d'autres univers. Oui, j'ai beaucoup aimé
ce livre, qui me parle... |
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