A l'aube de la vie, le narrateur se fait une promesse : ces années qui l'attendent, il les déposera aux pieds de sa mère pour réparer toutes les souffrances qu'elle a endurées.
Romain Gary
La Promesse de l'aube

Nous avons lu ce livre en janvier 2011.
Nous avions lu Le grand vestiaire en novembre 1987...

 

Françoise O
J’ai fait deux lectures, une dans les années 60, une récente en le retrouvant avec tendresse. Quel humour extraordinaire ! Trois fois ouvert.

Manuel
Je n’ai pas fini, je suis enthousiasmé par ce livre qui fait du bien.

Monique
Je n’ai pas lu en entier ce livre touchant, avec un art de raconter, mais la fascination de la mère m’étouffe. Ce n’est pas un grand livre, car c’est classique, Enfance de Nathalie Sarraute, c’est un grand livre car elle invente.

Annick L
J’avais des préjugés... et j'ai eu un plaisir infini à lire ce livre ; mais il est effectivement classique.

Françoise D
Je n’ai pas fini. Je trouve beaucoup de complaisance, il se répète, ressasse. Mais il y a un style, de l’humour, de la dérision, je reconnais l’écrivain.

Claire
J’ai adoré. J’ai pensé à Lanzmann et Klaus Mann pour la traversée du siècle et des frontières.

Annick A (qui l’avait proposé)
Romain Gary a bercé ma jeunesse, je suis un peu moins enthousiaste à la relecture, l’écriture est extraordinaire, l’œuvre est trop classique.

 



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