Guillermo Martinez
La vérité sur Gustavo Roderer

Nous avons lu ce livre pendant la Semaine lecture de juillet 2014.

Chantal
J'ai rencontré Erri de Luca aux Malouines dans le livre..., mais j'ai été rebutée à 2h du matin : les noms imaginaires, le sens profond qui m'échappe... Roderer m'a fait penser à Théorème zéro.

Christophe
Le personnage me semble intéressant, mais la comparaison à Borges me gêne. C'est un style cliniquement conventionnel.

Jackie
J'ai lu 20 pages. J'ai beaucoup aimé le jeu d'échecs.

Marie-Laurence
Ce livre m'emmène beaucoup... vers le mythe de Faust. Ça se lit tout seul, c'est fluide.

Lil
Une écriture très facile pour ce portrait de surdoué. Je hais l'échec et les maths et ça m'a passé au-dessus.


Jacqueline
Je n'ai pas compris grand-chose, j'ai été imperméable au pathétique. Cela m'a rappelé certaines nouvelles de Balzac. Le livre ne m'a pas accrochée et m'a paru artificiel.

Édith
J'ai beaucoup aimé le fond et la forme. J'ai une aversion pour les mathématiques. Le personnage est autiste.

Fanfan
J'ai beaucoup aimé. J'ai trouvé le livre passionnant.

Nicole
Je ne sais pas, je me suis trop attachée à comprendre (la philo et les maths). Il faudrait que je relise, je ne sais pas.

Marie-Thé
Alors ce livre-là franchement ! C'est une écriture à la Borges, avec un côté élitiste, difficile d'accès. J'ai aimé le côté duel. Le temps est compté, avec la difficulté à se décider : salade ou gâteau. Dans un tout autre genre, j'ai pensé au Grand Meaulnes.

Monique D
Hier soir j'ai commencé à le lire, j'étais fascinée : la mort, le temps...

Sophie
J'ai beaucoup aimé, je l'ai lu hier tard et ce matin de bonne heure. Il y a une cohérence entre les livres, comme des cailloux dans la semaine...

Muriel
Je suis rebutée dans le livre par les maths, la réflexion philosophique et je n'aime pas ne pas comprendre. Ce sont des personnages de conte, mais il y a trop de pages pour dire que la réflexion permanente sur la vie empêche de vivre.

Monique S
En lisant de livre, j'ai pensé au Beau ténébreux que nous avions lu, avec le personnage qui fascine. C'est une écriture à la Borges qui prend lui aussi des thèmes scientifiques (" Aleph ", " Le disque "). En miroir, les deux personnages vivent l'un par l'autre. L'épisode au lycée est très bien décrit, ainsi que la fille anorexique, ou la vie de famille. Ce qui m'a gênée est d'être hermétique au discours philosophique ; et la fin me laisse perplexe

Manon
C'est en écoutant les autres que je me rends compte que j'ai quelque chose à dire. J'ai bien aimé le personnage, mais... tout ça pour ça ! Il m'a un peu énervée. 30 pages me suffisent. Je n'ai pas détesté. Le poulet m'a heureusement fait souffler (" Passe-moi le sel. Ce poulet est vraiment délicieux ", p.117). Je ne sais pas donner un avis global.

Françoise D
Ftttttt, je ne sais pas quoi dire. Les échecs, les maths, la philo... Je n'ai pas accroché avec ce syndrome d'Asperger... C'est plutôt l'auteur qui m'intéresse car il nous tire vers le haut. Seldom, le nom du mathématicien, cela veut dire " rare ". Ce sont surtout les personnages féminins qui m'intéressent.

Suzanne
Bien que les échecs et les maths ne me soient pas familiers, le livre titille les neurones. Ce n'est pas pesant. J'ai aimé les portraits, la confiance des personnages dans leur pensée, le tiers exclus, l'attitude " ouvrez-moi, je suis le premier ".

Manuel
J'ai beaucoup aimé le style efficace, mais la construction bof. Il y a beaucoup d'artifice. Je retiens aussi la fille qui maigrit, et j'aime ce personnage qui n'aime pas perdre.

Claire
La partie d'échecs ouvre bien le livre. C'est la psychologie des personnages qui est pour moi le plus intéressant du livre. Les maths et la philo ne m'ont pas impressionnée, je trouve ça de la pacotille : l'évocation des montres molles de Dali dans le livre les illustre bien je trouve. C'est aussi casse-pieds que certaines nouvelles de Borges, avec un ésotérisme barbant. J'ai aussi apprécié les épisodes qui ont été cités (le lycée, etc.). Comme dans d'autre livres de cette semaine les lieux du temps passé sont évoqués, mais dans ce livre ils réapparaissent identiques (p.112). Et comme Manon, j'approuve le poulet : je regrette qu'il n'y ait pas plus de poulet.

Annick
J'ai trouvé ce livre poignant. Je suis frustrée car j'aurais voulu y réfléchir. C'est un livre tragique. Le livre tourne autour de la question de la mort. La mère va mourir : elle pose la question " pourquoi dois-je mourir ? " : cet homme, il n'en a rien à faire du reste, il cherche à trouver le sens de l'existence, tandis que le narrateur fuit cette question. J'aurais tué le mec qui répond avec le poulet. J'ai été bouleversée ; je suis fascinée par les maths ; ce livre je ne l'aurais pas lâché.

Marie-Odile (à Ploeren)
Marie-Laurence donne quelques mots de l'avis de Marie-Odile, mais on ne comprend pas si elle aime.




Nous écrire
Accueil | Membres | Calendrier | Nos avis | Rencontres | Sorties | Liens

Dans ce roman, Guillermo Martínez met en scène deux jeunes garçons en proie à une sourde rivalité depuis leur première partie d'échecs, deux personnages que tout relie et tout oppose.