Effi
Briest, trad. de l'allemand André Curoy, Imaginaire
Gallimard, première parution en 1989,350 p.
Quatrième
de couverture :
Fille daristocrates berlinois, Effi
Briest est mariée à lâge de dix-sept ans au
baron Geert von Innstetten, un politicien de quarante ans. Deux mondes
différents se rencontrent alors, une jeune femme enthousiaste et
insouciante face à un baron froid et distant.
Emprisonnée dans un mariage malheureux, isolée du monde,
brimée par une société conservatrice, Effi entame
une relation aussi passionnée que secrète avec un militaire.
À la manière dune Anna Karénine ou dune
Emma Bovary, lhéroïne se précipite vers son destin
tragique, en refusant de se soumettre et dabandonner sa liberté
émotionnelle, sexuelle et même politique.
Dernier roman de lécrivain allemand Theodor
Fontane, Effi Briest est lun des chefs-duvre
de lécole réaliste allemande.
Effi
Briest, Imaginaire Gallimard, 2007 : réédité
en tirage limité à loccasion des trente ans de la
collection LImaginaire, le roman de Theodor Fontane est accompagné
ici dun DVD du film Effi Briest de R. W. Fassbinder. Adaptation
fidèle du roman, Effi Briest appartient désormais aux grands
films classiques consacrés aux destins de femmes.
Axée sur les thèmes de la peur et de la soumission, cest
une uvre mélodramatique, passionnée et flamboyante.
Effi
Briest, trad. André Curoy, Gallimard, coll. L'Etrangère,
1989
Effi Briest, trad. André Curoy, Gallimard, coll.
Les Presses d'aujourd'hui, 1981
Effi
Briest, trad. Pierre Villain, avec Errements et tourments,
trad. Georges Pauline,
Jours disparus, trad. Jacques Peyraube
Frau Jenny Treibel, trad. Michel-François Demet, édition
dirigée par Michel-François Demet, préface de Claude
David suivie de lessai "Le vieux
Fontane" de Thomas Mann, Laffont, coll. Bouquins, 1981, 912 p.
Une des éditions allemandes (Surhkampf) :
|
|
Theodor Fontane (1819-1898)
Effi Briest (publication en 1896, traduction en
1902)
Nous avons lu ce livre en octobre et
le groupe breton en décembre 2024.
Nous avons pu visionner Effi
Briest de Rainer Werner Fassbinder (1974), avec Hanna Schygulla.
|