Sándor MÁRAI, Les étrangers, trad. du hongrois Catherine Fay, Le Livre de poche, 456 p.
Couverture : Amedeo Modigliani, Portrait de Paul Guillaume, 1916, Musée de l'Orangerie

Quatrième de couverture :
1926. Un jeune docteur en philosophie de Budapest arrive à Paris pour quelques mois. Étranger à ce pays qui le fascine et le rejette à la fois, il évolue parmi d’autres étrangers qui, comme lui, survivent tant bien que mal. Récit initiatique, fabuleuse peinture de Paris, ce roman largement autobiographique est une troublante réflexion sur l’exil, autant réel qu’intérieur, qui a nourri la vie et l’œuvre de Sándor Márai.

"Comme Zweig, Sandor Marai décrit avec une élégance rare le crépuscule pathétique d'une civilisation qui va être noyée sous les cendres du nazisme et du communisme" (La Vie).

Les étrangers, Albin Michel, 2012, 464 p.

Couverture Halasz Gyula (1899-1964), dit Brassaï, né en Transylvanie, alors partie intégrante du royaume de Hongrie, Couple d'amoureux sous un réverbère, 1933,coll. particulière

Quatrième de couverture :
Écrit en 1930 après un séjour de cinq ans à Paris, ce "roman français" d'inspiration autobiographique est un texte important dans l'œuvre de l'immense écrivain hongrois
Sándor Márai.
1926. Après un an d'études à Berlin, un jeune docteur
en philosophie de Budapest arrive à Paris pour quelques mois. Étranger à ce pays qui le fascine et le rejette à la fois, il évolue parmi d'autres étrangers. Comme lui, tous survivent
tant bien que mal dans le Paris de la fin des années folles, des cales de Montparnasse aux hôtels miteux du quartier latin. Philosophe déraciné, exilé volontaire, promeneur inquiet... l'identité floue du personnage évolue au gré d'une errance qui se prolonge dans une Bretagne idyllique où l'entraîne une femme rencontrée par hasard.
Récit initiatique, fabuleuse peinture de Paris, ce livre est une troublante réflexion sur l'exil, autant réel qu'intérieur, qui a nourri la vie et l'œuvre de
Sándor Márai.

Sándor MÁRAI (1890-1989)
Les étrangers (1930, traduction 2012)

Nous lisons ce livre pour le 28 juin 2025 pour ouvrir notre septième semaine lecture.

Nous avions lu un autre livre de cet auteur, et finalement bien peu d'écrivains hongrois... Nous avons lu :
- en 1991 : Le Grand cahier (1986) d'Agota Kristof, écrit en français.
- en 2005 : La porte (1987) de Magda Szabó
- en 2006 :
Être sans destin (1975) d'Imre Kertèsz
- en 2006 : Les Braises (1945) de Sándor Márai
- en 2017 : Épépé (1970) de Ferenc Karinthy
- en 2022 : Le tango de Satan
(1985) de László Krasznahorkai.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 


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à la folie
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¾ ouvert
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